Écrivain / Auteur , L'Isle sur la Sorgue - France
Retraité...J'ai fait des études d'architecture (Brevet de maitrise)... j'écris des poèmes et j'aime la nature...
Du 09/1963 au 06/1967
Etude en bâtiment(architecture-brevet de maîtrise)
Au fil du temps qui passe
Au fil du temps qui passe
Et qui ne revient pas,
Jamais je ne ma lasse
De nos tendres ébats.
Et tes éclats de rire
Raisonnent à mes oreilles,
Semblants alors me dire
Que la vie est merveille.
Au fil du temps qui passe,
Notre amour est plus fort,
Nos étreintes sagaces,
Nos rires fusent encore.
Et la vie suit son cour
Dans le meilleur des mondes
Pour nous O! Mon amour,
En une folle ronde.
Au fil du temps qui passe,
Nos souvenirs enfouis
Deviennent aussi fugaces
Et plus belle est la vie.
De cet amour immense,
Chaque jour cultivé,
Nous avons cette chance
Jalousement gardée.
Lançons nous corps et âmes
Dans un doux corps à corps,
Laissons chanter nos âmes
Et puis danser nos corps.
Au plus fort de l'amour
S'exprimant nos désirs
De nuit comme de jours
Dans le ciel du plaisir.
Laissons s'aimer nos cœurs
Pour laisser une trace
De notre Bonheur,
Au fil du temps qui passe.
Jos Dominici
Au crépuscule de ma vie
Au crépuscule de ma vie,
L'amour soudain m'envahit,
Me berçant d'espérance
En toi divine chance.
Et la rivière du bonheur
Serpente au fond de mon cœur,
Entraînant dans la liesse
Mille et une promesses.
Promesses que je t'ai faites
A toi ma douce femme
Que tout l'amour enflamme.
Je veux cueillir ton amour,
Chaque nuit, chaque jour,
Avec délicatesse,
Faire honneur aux promesses
De te donner ma tendresse,
Te couvrir de caresses,
T'inonder de mon amour
Jusqu'à la fin de mes jours.
Jos Dominici
Le délire d'un poète
J'aimerais, après ma mort,
Qu'on envoie mon corps dans l'espace,
Que j'ai raison ou même tort,
Là haut, serait une belle place.
Au beau milieu de tous les astres,
J'aurais vue sur ce bon vieux monde,
Contemplant l'univers si vaste,
Veillant sur la terre si ronde.
Je jouerais avec les étoiles,
Converserais avec la lune,
Et même si elle est un peu pâle,
Je lui compterais ma fortune.
Le soleil, réchauffant mon âme,
Tendrait l'oreille pour écouter,
Le récit de mon état d'âme,
De la vie sur terre passée.
Bien sûr, je ne serais pas Dieu,
Ni Jésus, ni Vierge Marie,
Mais là haut tout au fond des cieux,
Je veillerais à la survie
De la terre, de l'humanité,
Du monde animal, végétal,
Du bien, de la fraternité,
De tout l'univers sidéral.
Et j'enverrais de belles ondes
Et toutes les bonnes énergies,
Afin, qu'ici bas, en ce monde,
Il y ait paix sur toutes vies.
Alors seulement, je serais
Heureux de voir l'amour s'étendre
Sur le monde enfin libéré
Et renaissant de ses cendres.
Jos Dominici.
Une larme de sang
Une larme de sang s'épanche de mon cœur
Et mes yeux ne sont plus que tristesse et langueur,
Depuis que tu es partie rejoindre nos aïeux,
Là-haut, tout là-haut dans les tréfonds des cieux.
Toi, ma sœur, mon amie, ma complice innocente,
Tu avais en toi tant de joie débordante,
M'entraînant chaque jour dans toutes tes folies,
On riait aux éclats et nous aimions la vie.
Que s'est-il donc passé dans ta petite tête
Pour qu'un jour tu décides de quitter cette fête?
Tu n'es plus, de ce temps, qu'une étoile dans le ciel
Et maintenant ma vie n'a plus qu'un goût de fiel.
Mon âme s'est perdue à jamais dans le temps,
Plongeant ainsi ma vie dans un trou noir béant.
Il est si loin le temps de notre belle enfance,
De nos pleurs, de nos joies et de notre innocence.
Dans mes jours de grisaille, je ressens ta présence
Qui m'aide à supporter le mal de ton absence.
Une larme de sang s'épanche de mon cœur
Et mes yeux ne sont plus que tristesse et langueur.
Jos Dominici
La couleur du sang
Le sable du désert prends la couleur du sang
Et le vent, dans les dunes, n'apporte que tourments.
Une erre nouvelle de haine et de violences
S'abat sur notre terre dans un désastre immense.
Et le sol des montagnes est l'infâme repaire
De ces hordes sauvages, barbares et sanguinaires,
Rien ne tourne plus rond chez ces êtres régressifs
Et les combats qu'ils mènent les maintiennent agressifs.
Détournant le coran au profit de leurs œuvres,
Inculquant bien des âmes à leurs immondes manœuvres
Ils veulent asservir ainsi le monde entier
A une vile dictature religieuse, bafouée.
Comme un nuage noir assombrissant le ciel,
Ils appuient leur idées sur un dogme irréel.
Que tous les chefs d'état s'allient à juste cause
Pour briser ce fléau qui nous rend tous morose.
Car le vent de la haine soufflant sur notre monde,
Est le vent assassin de tous ces fous immondes.
Et ce vent de la mort plane sur tous les peuples,
Décimant à tout va les croyants en leurs temples.
Mais au nom de quel droit agissent-ils ainsi,
S'appropriant le droit de supprimer des vies?
Le sable du désert prend la couleur du sang
Et le vent, dans les dune, n'apporte que tourments.
Jos Dominici
Rebelle
Je n'accorde de louanges
Ni à Dieu, ni aux anges,
Alors que la vertu
N'est plus que superflue.
Mes prières, restées vaines,
Ont force de déveine
Et mon cœur asséché
Et mon âme damnée.
Devenus réfractaires
Aux maux de cette terre
Je m'prends à espérer
La fin d'l'humanité.
Il ne reste de mon être
Qu'un rebelle en mal-être,
Un pantin démembré
Dont les fils emmêlés
Lui font quitter la scène,
Oublié des mécènes.
Je n'accorde confiance,
En ce monde de démence,
Ni aux lois, ni aux juges
Qui jouent de subterfuges,
En défiant les lois,
Pour être les seuls rois.
Je n'accorde plus valeurs
Ni aux ans, ni aux heures
Qui empreignent la vie
De rides et cheveux gris.
Je suis toujours en guerre
Contres maints ministères
Aux lois sempiternelles
Car je suis un rebelle.
Jos Dominici
S'il fut donné
S'il fut donné un jour,
A ma «pomme» paumée,
De connaître l'amour
Et de pouvoir rêver,
S'il fut donné aussi,
A mon âme soucieuse,
De renaître à la vie
Sans pour ça être pieuse,
Je dois être ravi.
S'il fut enfin donné,
A ce monde malsain,
De devoir exister
Au milieu des chagrins,
Les Dieux n'ont plus de place,
Dans mes rêves embrumés,
Dans mon cœur qui se glace,
Dans mon âme abîmée.
Jos Dominici
Voici un de mes poèmes:
Au fil du temps qui passe
Au fil du temps qui passe
Et qui ne revient pas,
Jamais je ne ma lasse
De nos tendres ébats.
Et tes éclats de rire
Raisonnent à mes oreilles,
Semblants alors me dire
Que la vie est merveille.
Au fil du temps qui passe,
Notre amour est plus fort,
Nos étreintes sagaces,
Nos rires fusent encore.
Et la vie suit son cour
Dans le meilleur des mondes
Pour nous O! Mon amour,
En une folle ronde.
Au fil du temps qui passe,
Nos souvenirs enfouis
Deviennent aussi fugaces
Et plus belle est la vie.
De cet amour immense,
Chaque jour cultivé,
Nous avons cette chance
Jalousement gardée.
Lançons nous corps et âmes
Dans un doux corps à corps,
Laissons chanter nos âmes
Et puis danser nos corps.
Au plus fort de l'amour
S'exprimant nos désirs
De nuit comme de jours
Dans le ciel du plaisir.
Laissons s'aimer nos cœurs
Pour laisser une trace
De notre Bonheur,
Au fil du temps qui passe.
Jos Dominici
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